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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 15:36
Dès fois la folie est passagère,
Mais la mienne c'est l'Univers.
Et lorsque doucement je plonge,
Dans l'être de mes songes.
Peu importe la réalité,
Peu importe la diversité,
Je te retrouve uniforme,
Je te découvre cruciforme.
Je pénètre avec volupté,
Dans mes nuits vérités.
Je me mélange aux étoiles,
Je m'inspire, je lève les voiles.
Je médite au firmament,
Je m'élève doucement.
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 15:31

Puise dans la terre,
Tout ce que tu ne peux taire.
Puise dans le fer,
Tout ce que tu ne peux faire.
L'énergie vient du sol,
Rien ne se décolle.
Vol dans l'air,
Et vois la lumière.
Suis le tunnel,
Regarde mes ailes,
Je suis là près de toi,
N'ai pas peur entre en moi.
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 15:22


Quand tout t'abandonne.
Mais quand tout en toi raisonne,
Ne laisse pas venir la nuit,
Ecoute le moindre bruit.

La paix est derrière ta raison,
La lumière est devant ta maison.
Laisses monter en toi,
Ce que tu ne crois pas.

Laisses l'énergie t'envahir,
Laisses ta douleur te trahir.
Tes coïncidences ont un sens.
Ce parfum de bonheur t'encence.

Ton ange va te guider,
Il ne va pas t'abandonner.
Il te tend la main,
Il te guide vers ton destin.

Cette paix qui est merveilleuse,
Représente ton image pieuse,
Elle t'aime et te savoure,
Et sera là pour toi toujours.
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 13:57
                   

Ce matin, je t'ai rencontré.
Ce matin, je t'ai savouré.
Plus rien n'a d'importance,
Tout devient chance.

Peu importe les problèmes,
Il n'y a plus de haine.
L'amour est en premier lieu,
Je peux faire mes adieux.

Mon temps est arrivé.
Mon destin s'est dirigé,
Vers le canal de mon coeur,
Vers la lumière de ta splendeur.

Je me glisse vers toi,
Tout en moi devient foi.
Je connais ton amour,
Je ne veux plus de détour.

Et mon chemin de croix,
Est la lumière en soi.
Plus rien ne me fait peur.
Je sais que c'est mon heure.
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 13:51
Seul allongé sous un pont,
Ta vie tourne en rond.
Pour maison des cartons,
Des rats pour seuls compagnons.

Un jour ta vie a changé,
Les gens t'ont oublié.
Personne ne t'a demandé,
Ce qu'était devenu ton passé.

Je vois dans tes yeux,
Tes anciens jours heureux.
Je ressens dans tes aveux,
Ton coeur si malheureux.

Ne glisse pas vers rien,
Regarde moi, garde un lien.
Ne t'envoles pas, viens,
Reste sur terre, je te retiens.

Un jour, ils vont te voir,
Et de ce jour plein d'espoir.
Je verrai dans ton regard,
Pour l'humanité, un nouveau départ.
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 13:46
La descente en enfer,
Je n'en ai que faire.
J'attends que tes lèvres,
Se posent sur mes fièvres.

J'attends que tes mains caressent mes faims,
Que mon corps endolori danse enfin.
Je me réveil d'un long sommeil,
Je goûte à la vie, je m'émerveille.

Mon corps devient guitare,
Ma raison prends du retard.
Mes cordes à fleur de peau,
Sont effleurées de gouttes d'eau.

La musique se fait plus pressente,
Les notes se font plus caressantes.
Mon désir devient pureté,
Pour connaître un moment d'éternité.
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 13:40


De ces montagnes éventrées,
De ces hommes torturés.

L'humanité se détourne,
Les hommes restent sourds.

De ces rivières polluées,
De ces enfants bafoués.

L'humanité se détourne,
Les hommes restent sourds.

De ces pays emprisonnés,
De ces femmes violées.

L'humanité se détourne,
Les hommes restent sourds.

De ces peuples irradiés,
De ces libertés crucifiées.

L'humanité se détourne,
Les hommes restent sourds.

Occident, réveilles toi,
Prends les armes, bats toi.
Humanité, retourne toi,
Homme écoute toi.

Occident, ne t'endors pas,
Prends les armes, lèves toi.
Le monde de demain est devant toi.
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 13:35

Au loin, je vois les femmes danser,
Et leurs enfants pleurer.
Leurs larmes de joie,
Forment une rivière.
Leurs robes de soie,
Représentent une prière.

Le diable est mort.
Ils n'ont pas eu tord,
De croire en leur liberté.
Montrer leur intégrité.
Leurs hommes se sont battus.
Mais jamais ils ne se sont perdus.

Le tyran a fuit,
Il n'y aura plus de nuit.
Le tyran est parti,
Pour eux, fini les cris.
Dans leurs joies, ivres,
De ce bonheur, ils sont libres.

Les femmes ont prié,
Les hommes se sont révoltés,
Les enfants ont crié

                                 LIBERTÉ
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 12:58
                   

Toi, qui crois que les hommes sont petits.
Toi, qui crois que la liberté est finie.

Je fais glisser mon crayon,
Sur toutes tes illusions.

Toi, dont l'âme est trop sale.
Toi, qui croit que l'homme est vénal.

Je fais couler toutes mes larmes,
Sur ces hommes qui te désarment.

Toi, qui crois que parler est une insulte.
Toi, qui crois que la haine est un culte.

Je fais marcher mes pas,
Sur cette terre ici-bas,

Toi, qui crois que les gens qui tendent leurs mains.
Toi, qui crois qu'ils n'auront pas de lendemain.

Je fais danser mes rêves,
Sur ces joies bien trop brêves.

Toi, qui représente tous ces dictateurs,
Toi, qui représente toutes les peurs.

Je fais couler mon sang,
Sur tous ces serpents.

Alors, un jour viendra,
Où l'homme se révoltera,
Où ton sang coulera.
Et de leurs sourires, tu mourras.
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 12:50
Je viens te dire au revoir,
Je ne te dis pas à ce soir.

Je viens te dire que j'ai mal,
Je ne te dis pas c'est banal.

Tu n'es que le reflet de mes illusions,
Mais si peu, les flammes de ma passion.

Je viens te dire ce n'est pas grave,
Je ne te dis pas, je suis une épave.

Je viens te dire, tu m'as délivré.
Je ne te dis pas, je suis désolée.

Tu n'es que le vent de mes regrets,
Mais si peu le bon et tant l'ivraie.

Je viens te dire adieu,
Je ne te dis pas à nous deux.

Je viens te dire que je suis heureuse,
Je ne te dis plus, je suis amoureuse.

Tu n'es que l'eau croupie,
Mais si peu, la vague qui me ravit.

Je viens te dire, je ne t'attends plus,
Je ne te dis pas, tu me rends ivre.

Tu n'es que l'atmosphère viciée,
Mais si peu l'air à respirer.

De tous ces sentiments,

Je te rends ton temps.
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  • Marie-Pierre Larzabal Jude
  • A la recherche de mon identité, je me promène dans des lieux inconnus, que de souffrance et de joie aussi pour être ce que nous sommes.Poèmes, pensées, tout ce qui me semble important.
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