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9 mai 2010 7 09 /05 /mai /2010 11:54

 

 

 

Dans la lumière incertaine du jour à venir,

Ce chemin qui n'est que mon devenir,

Puisqu'en moi la fin des souvenirs,

Tout raisonne empire.....


Empire d'une vie, d'une mort,

Empire d'un choix, d'un sort,

En pire, raisonne encore,

En pire, pour arriver à bon port......


Brûle en moi, la vie,

Brûle en moi, la nuit,

Rien ne survit,

Même pas ce que je vis.....


Mon regard pourrait se retourner,

Mais il a déjà oublié le passé,

Mon regard pourrait me devancer,

Mais pourtant rien à lui n'est rattaché....



Je ne suis plus......


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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 19:23

Errant dans la nuit sans lune,
J'espère comprendre mon infortune,
Car plus les énigmes se font,
Et plus je touche le fond.

Toi esprit de la nuit qui me visite,
Et qui dans l'instant me parasite.
Qu'elle est la chose que je ne veux voir,
Qui me fait peur dans mon miroir.

Nuit après nuit, mon âme tétanisée,
Ramène l'odeur sulfurisée,
D'un endroit trouble et incertain,
Bien loin d'être un lieu saint.

Qui es-tu donc esprit du soir ?
Qui es-tu pour me faire croire ?
Que le soleil peut me faire peur,
Et la Pé nombre serait sa soeur.

Je me couche à tes côtés,
En attendant la vérité.
Et j'encense l'éternité.
De tout ce qui peut me limiter.





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20 septembre 2009 7 20 /09 /septembre /2009 10:47


Lorsque l'agneau voit le monde,
Avec les yeux de l'amour.
Et que le loup guette et sonde,
Avec la haine à sa cour....

Dans la douceur de la nuit,
L'agneau cherche les âmes à réconforter.
Dans la froideur de l'ennui,
Le loup trouve les âmes à damner.

Lorsque la lumière le reconnaît,
Elle sait, qu'il est à sauver.
Peu importe qui se repaît,
Le tout est d'innover.

Mais l'agneau, ne connaît pas la haine,
Et le loup, lui, dents affutés.
Se nourrit des siennes,
Peu importe qui est tué!!!

L'agneau accompagné de sa candeur,
Et le loup de sa perfidie.
Tâche à tout jamais sa blancheur,
Tout en lui, la maudit.

L'agneau allongé sur un lit de douleur,
Finit par quitter son corps.
Le loup dans ces yeux voit la peur,
Pourrait-elle rencontrer la mort ?

Mais l'agneau protéger par les siens,
N'est plus au lieu dit.
Et le loup pénètre en va et vient,
Un corps sans la vie.

Moralité de l'histoire :

Rien ne sert de sauver les âmes perdues.
Transformer l'obscurité contre son gré,
Pour la lumière est chose bien ardue.
Car chacun aime paître en son pré.















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6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 12:59


Dans mes barreaux de verre,
L'étau se resserre.
Aurais-je le courage,
De touner la page.

Combien de temps encore,
Devrais-je subir ce sort ?
Celui de toujours retourner sur mon passé.
Sans jamais l'effacer.

Il est des jours,
Où mon coeur est trop lourd.
Où je ne comprends pas qui je suis,
Où je ne comprends pas qui je fuis.

Dans tous ces labyrinthes,
Où mon émotion suinte.
Je cherche à comprendre,
Ce que mon coeur veut me rendre.

Mais ce voile,
qui est plus épais qu'une toile.
Me donne envie de vomir,
Avant de tressaillir.

De quoi ais-je peur ?
De quel leurre ?
Je m'enfonce encore plus profondément,
Mais mon esprit me ment.....

Il est trop dur,
D'arriver à cet être pur.
Il est trop poignant,
Trop rempli de sang....

Je ne peux que le survoler,
Je ne peux que l'identifier.
Sans jamais le toucher,
Sans jamais le sauver.

Il est si loin,
je ne peux en prendre soin.
Et pourtant j'aimerai de mes mains,
Le rendre en mon sein.

Pouvoir l'accepter,
Et lui rendre sa liberté.
Mais à chaque fois,
Je m'éloigne de moi.

Quelle est la part de mon être ?
Qui ne peut que paraître.
Pourquoi ne pas pouvoir enfin me poser ?
Pourquoi toujours cacher et ne pas oser ?

De quoi ais-je si peur ?
Quelle est cette rancoeur ?
Quelle est la peur que je ne peux reconnaître ?
Qui est noyé en mon être ?

Certaines fois, je voudrai partir....
Pour ne plus souffrir...
Qui es tu toi qui me fait si mal ?
Quelle est cette douleur si sale ?

J'aimerai t'arracher à mon ventre,
J'aimerai te sortir de mon antre.
J'aimerai reconnaître ma douleur première,
J'aimerai pouvoir regarder en arrière.

Mais je ne peux que te survoler,
Je ne peux que penser t'identifier.
Sans jamais te toucher,
Sans jamais me sauver.






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2 août 2009 7 02 /08 /août /2009 12:03
A tout ceux dans le désespoir,
A tout ceux qui n'ont plus d'espoir.
Je vous laisse le choix des armes,
Je vous laisse le choix des drames.
Mais sachez qu'au fond de moi,
Tout est en désarroi.
Sachez que lorsque je vous vois mourir,
Tout ça me fait souffrir.
Lorsque je vous vois fuir dans vos couloirs,
Lorsque je vois qu'en vous, vous ne regardez que le noir.

J'aimerai tellement vous montrer ma Lumière,
J'aimerai tellement vous montrer ma prière.

A toi qui ne veux plus toucher ton coeur,
A toi qui te noies dans ta peur.
Je te laisse le choix de ta came,
Je laisse le choix à ton âme.
Mais saches que lorsque tu te nois,
Je meurs avec toi,
Saches que quand tu détournes ton regard,
Il manque en moi une part.

J'aimerai tellement te montrer mes ailes,
J'aimerai tellement te montrer que la vie est belle.

Je ne te juges pas,
Je t'aime trop pour ça.
J'aimerai prendre un peu de ta souffrance,
Pour qu'en toi, s'éloigne l'errance.
Mais comment tendre la main,
A celui qui ne crois plus aux siens.
Comment espérer que ton coeur enfin s'ouvre,
Alors que tu te noies dans ce gouffre.

Si tous les Anges du ciel,
Et même l'Eternel.
Pouvaient venir à mon secours,
Pour offrir tout cet amour.
Que vous avez su me donner un jour,
Quand mon coeur était encore sourd.

                                   A toi que j'aime




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2 août 2009 7 02 /08 /août /2009 11:07
La buée sur les carreaux.
C'est l'heure où nous quittent les oiseaux.
Et je ne peux retenir,
Mes larmes de te voir partir.
Tout est gris et sombre.
Alors, se profile l'ombre,
Si noire de tes adieux.
Et je ne vois dans tes yeux,
Que les notes qui s'envolent,
Une à une en farandole.
Je me souviens de ces matins d'été,
Riant dans les champs de blé.
Où ton coeur m'aimait,
Et mon âme chantait.
Mais le temps s'en est allé,
Avec lui mon passé.
Je me retrouve seule, isolée,
Je voudrais te crier mes regrets.
Mais les sons ne sont que des nuages,
Qui passent et éclatent en orage.
Mon coeur, brûlant, doucement s'éteint.
De cette image qui m'étreint.
Avec elle, je m'imagine,
Mon amour, remplit d'épines.
Qui m'entraîne toujours au loin,
Comme un souffle sans fin.
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2 août 2009 7 02 /08 /août /2009 10:52
De la rivière de la vie,
Qui s'écoule lentement,
Comme une onde infinie,
En mon corps maintenant.

Je sens la paix m'envahir,
Qui comme une eau de cristal,
Abandonne tout désir,
Et éloigne le mal.

Ni colère, ni haine,
Ni rancune, ni rancoeur,
Tout comme ce chêne,
Qui puise en sa soeur.

Force et matière,
De celle que l'on nomme,
Avec une si grande bonté,
Notre Déesse Terre

Car en moi scintille,
Ce sentiment si grand,
Comme un soleil qui brille,
Et réchauffe mon sang.

De cette montagne au loin,
Si verte et si paisible,
Glisse avec soin,
Vers un Univers fertile.

Tout en moi devient joie,
Car j'ai ressenti,
Dans la plus grande foi,
Cet amour infini.
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2 août 2009 7 02 /08 /août /2009 10:45
Mon coeur est fatigué,
De t'avoir cherché.
La vie aurait pu nous séparer,
Mais tout nous a rapproché.
Je m'imprègne de ce sentiment,
Qui me jette dans le néant.
Plus rien ne m'est connu,
Tout se trouve perdu.
C'est dans tes yeux,
Que j'ai trouvé Dieu.
Et dans mon coeur,
"Notre ailleurs".
Je fais voeu de me sacrifier,
Et celui de me renier.
J'ai enfin atteinds la sérénité,
Je peux rejoindre l'éternité.
J'ai bu dans le calice,
Je n'ai plus d'artifice.
J'ai vu la Lumière Christique.
Tout devient mystique.
Je n'attends plus rien de toi,
Tout se trouve en moi.
En moi, le serment de toujours t'aimer.
Et de ne jamais le divulguer.
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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 09:45

Ce poignard que j'enfonce.
Pour évacuer cette ronce.
Qui me ronge, tel l'acide,
Et consume mon coeur aride.
Pour ces sentiments que je déteste.
Et ce poids qui me leste.
Toujours plus bas, toujours plus froid.
Et qui me creuse, sans émoi.
Je suis la douleur,
Qui se tord telle ma peur.
Je vomis de colère et de haine.
Puisque mon coeur saigne.
Saigne de t'avoir connu.
Meurt de t'avoir perdu.
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27 juillet 2009 1 27 /07 /juillet /2009 20:24


Ne croyez vous pas que sur cette terre,
Tout est à refaire.
Même nos prières,
N'ont plus l'air sincères.
Nos moindres dons,
Sont en retour d'un pardon,
De notre connaissance,
Et reconnaissance.
Plus rien ne suffit,
Toujours plus d'envie.
Quand sur l'autre moitié de la terre.
Des hommes dans la misère.
Pleurent pour un bout de pain,
Pour mentir à leurs faims.
Quand des hommes éreintés,
Travaillent pour une autre moitié.
Qui n'ont même pas le respect,
De cacher leur pitié.
Quand des hommes épuisés,
Traînent leur pauvreté.
Sans jamais quémander,
A nous, autre moitié.
Une partie de nos richesses.
Qu'on accumule et qu'on engraisse.
Aurons-nous un jour la sagesse ?
De tout partager dans l'ivresse.
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  • Marie-Pierre Larzabal Jude
  • A la recherche de mon identité, je me promène dans des lieux inconnus, que de souffrance et de joie aussi pour être ce que nous sommes.Poèmes, pensées, tout ce qui me semble important.
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